L'Association de Réflexion et de Recherche Clinique en Psychomotricité de Lyon et sa Région vise à promouvoir la recherche clinique en psychomotricité par divers moyens notamment : l’organisation de séminaires, colloques, groupes de réflexion. Soutenir des projets individuels ou collectifs de recherche sur la clinique psychomotrice, favoriser et/ou rechercher la collaboration avec des structures à même d’apporter une contribution directe ou indirecte au but poursuivi par l’association et tout particulièrement avec l’Institut de Formation en Psychomotricité de Lyon.
Elle s’adresse à tout psychomotricien désireux d’engager un travail d’approfondissement théorico-clinique, quel que soit son champ d’exercice professionnel ou son référentiel théorique et clinique.
Susciter les échanges, favoriser le débat entre psychomotriciens, soutenir la réflexion et la recherche à propos de la pratique, telles sont les ambitions de l’ARRCP Lyon et région. Dans cet objectif, l’association mise sur l’engagement de ses membres dans une démarche qui consiste à se confronter aux difficultés et aux doutes rencontrés dans la clinique, à approfondir ses intuitions cliniques, à les arrimer à des concepts théoriques, à transmettre et discuter les résultats de ses travaux.

samedi 2 mai 2009

Les Questions soulevées par le texte de F. Joly

Quand s'arrêter?
Quand l'enfant est-il capable de jouer seul?
et de quelle solitude s'agit-il ?
Quand il est capable de faire fonctionner à la fois :-la dimension instrumentale
- sa vie psychique
- créative
- relationelle ?
Sans la dépendance :
- à l'autre
- au dispositif de soin
- à l'environnement?
Quand il est capable d'une suffisament bonne intériorisation , subjectivation, de l'expérience?
Quand le thérapeute n'a plus besoin: - de faire pour
- d'être avec
- de faire
- avec
Il se situe plus dans une fonction
- d'étayage narratif
- de surlignage du jeu
- de support de représentation
- d'aidant au travail de liaison ?
Quand le thérapeute estime le patient capable de trouver d'autre appuis pour continuer à élaborer le "reste" aprés le soin ?
Quel rôle joue le temps ?
Comment le thérapeute contribue au dénouage du lien thérapeutique ?

Arantza HERES
Odile GAUCHER-HAMOUDI

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